Raya s'observa d'un oeil critique dans le miroir mural et, relevant ses cheveux en un élégant chignons, laissa échapper quelques mèches torsadées de sa coiffure. Entendant le coup de sonnette de Tsukyio, la jeune femme s'empara de son manteau, descendit au rez-de-chaussée, attrapa ses clefs et ouvrit en souriant: "Re bonjour! Tu es prête? Parce qu'on peut toujours se porter malades, tu sais!", acheva Raya avec une grimace comique.